L’ambition de ce site est d’accommoder et l’étude et la pratique des traditions religieuses de la Gaule. C’est donc une assez grande entreprise, qui devra se développer au fur et à mesur. Si vous pouvez aider, n’hésitez pas à me contacter !
Voici la portée et le progrès du site :
La plupart des photographies sur ce site sont les miennes (donc faites par Viducus Brigantici filius). Les exceptions seront notées. Sur la page première, un bas-relief de la région trévire représente une créature marine ; il se trouve dans le Rheinisches Landesmuseum à Trèves. La page erreur porte le relief célèbre de la louve anthropophage au Musée archéologique d’Arlon. Le serpent à tête de bélier qu’on trouve sur la page d’introduction, parmi d’autres, figure sur une plaque du chaudron de Gundestrup (la photographie originelle est en domaine public). Le dessein de l’arrière-plan est ma propre création à partir des éléments décoratifs sur les monuments de la région trévire. Les collages de drapeaux et d’écrivains notables sont eux aussi mes créations, mais à partir des images à licence libre des Wikimedia Commons (dont notamment Goethe, Hugo et Shakespeare sont en domaine public) ; le même vaut pour les cartes, que j’ai créées à partir des ressources cartographiques en domaine public. Sauf notice contraire, je publie le texte et les images sur ce web sous une licence Creative Commons (paternité-partage des conditions initiales à l’identique 3.0 unported).
L’une des singularités de nous reconstructionistes polythéistes est le plaisir que nous tirons d’être toujours soigneusement archaïques (parfois un peu comme la Society for Creative Anachronism). C’est ainsi que chaque page de ce web conclut avec les mots mystérieux « Deo Mercurio ceterisq(ue) diis deabusq(ue) immortalibus Viducus Brigantici f(ilius) anno post R(omam) c(onditam) MMDCCLXII v(otum) s(olvit) l(ibens) m(erito) », ou une variation près. Ça veut dire que moi (Viducus, fils de Briganticus) (pas mon vrai nom) ai voué à Mercure et aux autres dieux et déesses immortelles que j’aille créer ce web, et oup ! voilà, en 2009, je l’ai fait. Ou du moins que j’en fais de mon mieux !
J’ai « relooké » le site en 2012 afin de faciliter la lecture continue et l’utilisation des informations accessibles. Pour la même raison, j’ai sorti une version mobile début 2014. On espère que cela vous plaît !
